Les concepts clés
La découvrabilité d’un contenu dans l’environnement numérique se réfère à sa disponibilité en ligne et à sa capacité à être repéré parmi un vaste ensemble d’autres contenus, notamment par une personne qui n’en faisait pas précisément la recherche. Ministère de la Culture et des Communications du Québec
La définition de
la découvrabilité
s’axe autour de
ces deux volets:
La découvrabilité, c’est la capacité d’un contenu culturel à se faire proposer à l’internaute qui n’en connaissait pas l’existence, au moyen d’un système de recommandation complexe. Simplifions en posant que des d’algorithmes estiment les préférences des utilisateurs et, par des procédés évolutifs d’intelligence artificielle, les contenus visibles sont adaptés aux préférences, lors de la navigation internet.
Pour les producteurs de contenus culturels, la découvrabilité est le résultat du croisement de certains éléments: les données descriptives disponibles sur différentes plateformes, comme Wikipédia et YouTube, la présence et l’animation de communautés sur le Web par le truchement des réseaux sociaux, les pratiques de référencement naturel (SEO), la promotion.1
Sans qu’il n’en ait fait la demande, l’utilisateur se fait recommander des contenus de consommation, dans l’objectif de faire un choix, sur les différentes plateformes qu’il utilise.à
Comparons l’utilisation du moteur de recherche Google au canari dans la mine, qui meurt lorsqu’un manque d’oxygène se manifeste. Si la recommandation algorithmique de votre présence se fait mal (ou pas du tout) par Google, c’est le premier souci à traiter.
On définit un algorithme comme une suite d'instructions permettant d'obtenir un résultat, utilisées par les logiciels de recommandation.2 L’intelligence artificielle des robots d’analyse et de recommandation est opérée à partir d’algorithmes.
Une donnée est l'expression simple d’une entrée alphanumérique sur le Web. Sans description ou rapport avec d’autres données, elle manque de sens et de contexte pour que les machines la comprennent. Il existe différents types de données (d’usage, de fréquentation, descriptives, etc.) qui ont des statuts propres, et qui sont encadrées par des licences juridiques qui déterminent leur réutilisation et leur accessibilité dans le Web (données ouvertes ou non).
Utiliser les données de manière efficace, par exemple en nommant adéquatement les images de votre site Web, est l'une des nombreuses façons d'améliorer la découvrabilité d'un contenu.
Données qui servent à décrire ou contextualiser d’autres données, organiser et trier de l’information et des documents.
Structurer une donnée la rend repérable par les algorithmes d’intelligence artificielle qui parcourent le Web. Plus vos contenus numériques sont enrichis de métadonnées, plus ces contenus seront repérables par les moteurs de recherche.
Désigne un marqueur intégré dans le code HTML d’une page Web pour structurer la recherche de métadonnées. Invisible pour les internautes, elle fournit une information aux moteurs de recherche.
Tout ce qui se retrouve sur le Web est une organisation de l’information. Un langage informatique (codage) propulse un langage humain (texte). Le langage humain se retrouve sur ce qu’on peut appeler le recto d’une page Web, compréhensible pour notre lecture, avec le texte et les images. Le langage informatique, soit le codage, reste invisible lors de notre navigation. Le codage représente le verso d’une page Web. C’est le langage pour les machines qui parcourent et analysent le Web pour nous.
Dans un monde numérique, les données de nos répertoires et catalogues génèrent plus de valeur lorsqu’elles sont exposées et accessibles sur le Web (soit ouvertes) plutôt que lorsqu’elles sont stockées dans les bases de données de nos disques durs.
Les données produites par chacun des acteurs du milieu des arts et de la culture peuvent être reliées de façon cohérente afin de constituer une offre d’information globale et riche et de nous fournir une meilleure visibilité sur les données relatives à l’accès et à l’utilisation de contenus.3
Par exemple, une saine gestion de ces données peut permettre de:
Sorte d’hyperlien entre deux données de différentes plateformes. Une donnée ouverte liée est unie à au moins une autre donnée sous la forme donnée-lien-données.
Lier une donnée dans l’infini du Web d’aujourd’hui est assez complexe, et il est souvent nécessaire d’être accompagné d’experts.
Les données ouvertes sont des données structurées, diffusées selon une licence ouverte qui garantit la disponibilité, l’accessibilité et la réutilisation de celle-ci, sous forme de fichiers prêts à télécharger. Celles-ci doivent être accessibles, chacun doit pouvoir les réutiliser et les republier, quel que soit son champ d’activité.
Par exemple, les données relatives aux événements organisés (listes de spectacles offerts dans le cadre d’un festival, statistiques de fréquentation, etc.) sont des données ouvertes. Le Conseil des arts du Canada permet à tous d’explorer ses données.
Il existe un spectre d’ouverture assez large des données schématisé en 5 degrés par Tim Berners-Lee, inventeur du Web.
Donnée définie par une balise, dans une structure logique propre à sa plateforme de recherche. Dans Google, il s’agit de la disposition de l’espace supérieur droit de l’interface de recherche qui résume les informations les plus importantes.
Les données structurées ont pour objectif d’augmenter la capacité des moteurs de recherche à utiliser vos métadonnées pour fournir une information précise à un utilisateur.
Le langage de balisage est à utiliser en complémentarité avec les techniques de référencement de pages Web pour, notamment, valoriser les répertoires, catalogues et collections.
Le Web sémantique est l'extension du Web actuel qui, par des procédés de standardisation (World Wide Web Consortium), permet aux machines de comprendre la signification de l’information disponible dans le but de faciliter l’échange, la modélisation, l’encodage et l’interrogation des données au sein des applications, des organisations et des communautés.
La sémantique du Web s'appuie sur des langages de balisage, comme par exemple les balises HTML.
Le Web sémantique met en œuvre le Web des données pour parvenir à lier et structurer l’information sur Internet et ainsi accéder plus simplement aux connaissances qu’il contient déjà.
Un graphe de connaissances permet de lier des données et de leur donner une pertinence différente selon le lien de connexion qui est créé. Il circonscrit les données structurées qui se trouvent sur les sites Web répertoriés et permet de les transmettre de manière plus efficiente aux moteurs de recherches, leur permettant d'«apprendre» de leurs recherches. Il s’agit donc d’une base de données répondant aux besoins du Web sémantique.
Par exemple le graphe de connaissances LOD Cloud, lie toutes les données Web structurées, incluses dans le répertoire, et permet de les transmettre de manière plus rapide et efficace aux moteurs de recherches. Ce graphe est représenté sous forme visuelle de nuage pour les internautes.
Les leviers de la découvrabilité
À court ou long terme, il est important qu’une offre culturelle soit découvrable sur les moteurs de recherche.
Voici les quatre leviers à prendre en compte pour optimiser la découvrabilité d’un contenu numérique:4
Le référencement naturel permet de rendre découvrable des contenus et du trafic. Il consiste à mettre en œuvre des techniques organiques (en opposition à payantes) pour que le site web apparaisse le plus haut possible dans les résultats de recherche sur un sujet donné.Pour plus de détails, voir notre fiche sur le Marketing numérique.
Une organisation culturelle qui rend accessible certaines de ses données, se donne la chance d’augmenter sa visibilité dans le monde numérique et favorise une meilleure découvrabilité de ses contenus.
L’ouverture des données conduit cependant à se questionner sur l’aspect confidentiel de certaines d’entre elles et renvoie à des questions légales importantes. Ainsi, en terme de droits d’auteurs, il faut s’assurer que:
Les données qui seront publiées sous licences libres ne sont assujetties à aucune restriction préalable d’utilisation ou de diffusion.
L’organisme est propriétaire des données auxquelles il souhaite donner accès ou que celles-ci constituent des faits et ne sont donc pas protégées par le droit d’auteur canadien.
Une réflexion particulière doit être menée sur les données sensibles. Selon l’Office québécois de la langue française, cela concerne une information confidentielle dont la divulgation, l'altération, la perte ou la destruction sont susceptibles de porter préjudice à l'individu ou à l'organisme qu'elle concerne. La personne concernée doit donc impérativement donner son consentement au dépôt et au traitement de ces données.
Il sera judicieux de recourir à l’aide de juristes (ou consultants professionnels) afin de garantir qu’aucune loi ne sera enfreinte par la mise en circulation d’un ensemble de données.
La plupart des offres culturelles disponibles en ligne sont promues et soutenues par les géants du Web (GAFAM, Acronyme des géants du Web — Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft). Fort est de constater que la culture québécoise est peu visible dans le Web. La découvrabilité est devenue un enjeu majeur quant à la place qu’occupe la diversité culturelle et patrimoniale d’une région, d’une province ou d’un pays.5
Lors des Journées d’étude internationales de la découvrabilité des contenus francophones à l’ère du numérique, tenues à la BANQ en 2019, le ministère de la Culture et des Communications était mobilisé pour assurer la présence et la valorisation des contenus culturels québécois sur le Web sémantique.
Les données indispensables sont souvent diluées dans un amas de données stockées inutilement. Aujourd’hui, les entreprises sont inondées de données dont le volume s’accroît au rythme de 35% à 50 % chaque année. Elles cumulent plus de 60 téraoctets d’information par an, environ 1 000 fois plus qu’il y a 10 ans.
Défis
Gérer les coûts d’exploitation et les risques associés aux données stratégiques et sensibles.
Apprendre à interpréter les données pour améliorer la souplesse et les résultats de l’organisation.
Mieux évaluer la valeur et la criticité des données à sauvegarder.
Conseils
Cerner les «données sacrées» (clients, commandes, employés, etc) qui forment l’essentiel de la plupart des dossiers d’un organisme.
Organiser les processus pour une analyse rapide, efficace et fine.
Avoir une vision pérenne de la gestion des données.
Définir une politique de gestion des données non-structurées (documents, images, vidéos et courriels) pour les échanges externes et leurs sauvegardes.6
Avant de travailler sur les données, déterminer les publics à rejoindre et de quelles façons.
Le site Web est le point de départ, le premier outil en matière de découvrabilité. Le maintien à jour du site Web constitue une bonne façon d’améliorer la découvrabilité d’une organisation, d’un contenu culturel ou encore d’un événement. Il importe que les données informatives présentées dans le site Web soient actualisées.7
S’assurer que les informations communiquées sur le site Web sont exactes et à jour.
Faire des liens entre les différentes plateformes sur lesquelles le contenu numérique est présent.
Recourir autant que possible à une ou un spécialiste pour structurer les informations sur le site Web en fonction des publics ciblés.
Ajouter des données d’intérêt. Par exemple, si on présente des livres sur un site Web, une bonne pratique serait d’ajouter au titre et au nom de l’auteur, d’autres données pertinentes, comme les thèmes, les catégories d’âge ou le nombre de pages.
Ajouter des données structurées et utiliser des balises, afin que les moteurs de recherche parviennent plus facilement à comprendre les informations du site Web pour les proposer aux utilisateurs.
Un projet de mutualisation des données, qui se définit comme l’alliance de plusieurs organisations pour partager ou s’échanger des données, est autant une opportunité de générer une information plus riche, variée et dense sur les pratiques culturelles, que d’apprentissage et d’acquisition de de pratiques collaboratives au sein d’une organisation, ce qui va créer du lien.8
En amont, il importe de se familiariser avec les principes de :
de l’organisation: types de hiérarchie, processus décisionnels, etc,..
du projet: gestion de projets
des données: licences, droits sur les données, etc.
L’interopérabilité des données signifie que celles-ci peuvent être utilisées et fonctionner avec celles d’autres systèmes ou plateformes grâce, par exemple, à des identifiants uniques communs.
C'est l’étape de «nettoyage» et de réflexion qui précède toute mise en commun de données.
Les champs de chacune de ces bases de données doivent avoir un vocabulaire commun.
Les questions essentielles à se poser:
À quels besoins et objectifs le projet répond-il?
Le projet pourrait-il entraîner des facteurs de vulnérabilité?
Les retombées du projet seront-elles les mêmes pour tous ?
Quelle forme prendra l’organisation porteuse du projet ?
De quelle façon la pérennité du projet est-elle envisagée?
Comment les décisions seront-elles prises?Quelle forme prendra l’organisation porteuse du projet ?
Marche à suivre si une partie décide de retirer ses données du projet?
Qui est ou qui sera le propriétaire de la plateforme?
Quel sera le statut légal des données mutualisées?
Il existe un spectre d’ouverture assez large, schématisé en 5 degrés par Tim Berners-Lee, inventeur du Web.9
Voici quelques pistes d’actions à explorer.10
Vérifier les initiatives en place selon les secteurs. Il faut se poser certaines questions: les données seront-elles compilées par un humain ou par un système? Comment seront rémunérés les contributeurs en cas de création de données? L’ouverture est-elle cohérente avec le mandat de l’organisation, ses moyens, ses ressources?
Quelles données de votre organisation présentent le plus grand potentiel de diffusion et de réutilisation.
Diffuser librement les publications en format non exclusif (PDF, HTML) sur le site web ou sur un dépôt numérique comme e-artext. Les façons de diffuser des données avec une licence ouverte sont nombreuses, comme choisir une des licences de Creative Commons, distribuer le contenu sur Wikidata, déposer sur Données Québec, les rendre accessibles sur un site Web (avec une licence Creative Commons, par exemple) ou sur demande.
Dans certains cas, il peut être pertinent de s’associer à des universités, chercheurs, organismes dont la mission est dédiée à l’ouverture des données. Par exemple, CAPACOA, Synapse C, Passerelles ou l'équipe de Données Québec qui accompagne les organisations qui veulent ouvrir et déposer leurs données sur le portail.
On peut choisir d’extraire certains éléments pour en faciliter l’accès, comme dresser la liste des expositions organisées par un centre depuis sa création en y intégrant les commissaires et artistes impliqués, comme dans l'exemple du Musée d'art contemporain des Laurentides, le MAC LAU, ou observer l’évolution du membrariat d’un organisme au fil des années.
«Devenir découvrable» passe par la mise en action de certaines pratiques incontournables.
Établir une stratégie et des objectifs clairs en fonction de la mission.
Définir les informations à publier c’est à dire prendre le temps de nettoyer les données et travailler dans le sens du bien commun.
Adhérer aux sites qui génèrent automatiquement des description de contenus en ligne. Ces sites pointent vers site Web de l'organisme, sur lequel il faut bien décrire les contenus, travailler l'architecture des pages pour maximiser le référencement et intégrer les balises Shema.org adéquates. Les titres, lesdescriptions et les mots-clés (champ lexical) devraient être identiques sur toutes les espaces numériques.
Lier son site Web, ses comptes YouTube, IMDb, Viméo, Wordpress-Woocommerce, réseaux sociaux pour ne JAMAIS amener le moteur d'indexation (l'internaute) dans un cul de sac. Il s’agit de repérer et relier les mentions, créer des liens partout où c'est possible.
Tout ce qui commence par WIKI, appartient à l'univers de la Wikimedia Foundation. La plus importante est Wikidata, une base de données libre, collaborative, multilingue et secondaire qui collecte des données structurées pour alimenter la plus connue: Wikipédia.
Wikidata est donc une référence incontournable pour les moteurs de recherche lorsque vient le temps de présenter l’information sous forme d'infoboîte ou de faire des recommandations, particulièrement pour les recherches vocales.
Être présent dans l’univers Wikimedia, c’est faciliter la découvrabilité, le partage et la circulation des données. Fournir des informations à Wikidata permet par la suite aux moteurs de recherche de mettre en valeur les données lors de recherches d’internautes. Plus largement, l’ajout de données favorise la découvrabilité de produits culturels et le partage de connaissances.
Wikidata et Wikipédia sont des outils pertinents pour des contenus culturels à découvrir.
Wikidata est une base de données libre, rédigée de manière collaborative qui rend les contenus disponibles en données ouvertes, lesquelles peuvent être utilisées par tout le monde. Alimenter Wikidata consiste à y mettre des données «brutes», c’est-à-dire sans enrobage rédactionnel. Ainsi, des entrées ne sont créées que pour indiquer, par exemple, le titre d’une pièce, les noms des comédiennes et des comédiens ou les dates de représentation, les numéros d’identifiants ISNI des artistes.
Wikipédia est la plus grande encyclopédie démocratique au monde. Elle utilise notamment les données saisies dans Wikidata. Les contributeurs peuvent ajouter des informations à même l’encyclopédie en modifiant le texte ou en insérant du contenu. Les artistes et organismes reconnus peuvent aspirer à une page Wikipédia concernant leur production artistique en participant à la communauté et en s’investissant dans un WikiClub.
Attention, on doit garder en tête que Wikipédia est une encyclopédie et non un espace publicitaire.
Près de 400 pages sont quotidiennement supprimées.
Il vaut mieux s’intéresser aux critères de publication avant d’amorcer une rédaction qui risquerait d’être refusée par la communauté.
est une extension conviviale et gratuite offrant une évaluation et une optimisation des contenus WordPress.
est un outil de mesure et d’analyse des mots utilisés par les usagers pour arriver sur le site.
identifie les liens brisés sur un site et les remplace par des URL (adresse Web) existantes.
Produire des balises
est un outil Google d’analyse de données structurées.
En y collant l'URL d'un site, l'outil analyse et révèle en quelques secondes les données structurées qui apparaîtront à un internaute lors d'une recherche Google.
est un outil Google de création HTML pour votre site Web.Quelques extensions, comme Yoast SEO et Schema Pro, prennent en charge l’ajout de certaines balises sur les sites développés avec WordPress, avantageux pour les organismes qui n’ont pas d’expertises de programmation au sein de leur équipe.
Quelques extensions, comme Yoast SEO et Schema Pro, prennent en charge l’ajout de certaines balises sur les sites développés avec WordPress, avantageux pour les organismes qui n’ont pas d’expertises de programmation au sein de leur équipe.
est un modèle de données structurées pour produire les balises sémantiques qui permettent aux moteurs de recherche de repérer et d’interpréter les ressources décrites. Par son interface bien vulgarisée, Schema.org permet de créer facilement du code et le copier ensuite dans l'en-tête d'une page Web.
Les plateformes publicitaires
les organismes intéressés peuvent se familiariser avec les plateformes publicitaires de Google, Facebook et Instagram.
Les OBNL canadiens peuvent s’inscrire à Techsoup pour avoir accès au service Google Ad Grants qui permet de diffuser des annonces textuelles à rabais, selon certaines conditions.
L'ISNI (International Standard Name Identifier – norme ISO 27729) est un identifiant unique et permanent de 16 chiffres attribué à des personnes et à des organisations impliquées dans les chaînes de création, de production, de gestion et de distribution des contenus culturels.
Métamusique.ca est un guide en ligne complet qui répertorie les bons outils et bonnes pratiques et visant à accompagner les ayants artistes et travailleurs de la musique dans l’indexation de leurs contenus, à l’aide de métadonnées.
Wikimedia Canada est l’un des principaux leviers utilisés par les grands moteurs de recherches pour la découverte de données ouvertes et liées. L’encyclopédie Wikipédia en est l’outil le plus connu, et le plus facile à comprendre pour un premier contact, mais c’est l’outil Wikidata qui a le plus d’impact.
Avec l’arrivée du Web sémantique, il ne suffit plus d’être découvrable, il est également important d’être recommandé. Le public s’habitue de plus en plus à se faire recommander des contenus, autant en musique (Spotify, Apple Music, etc.) qu’en télévision et cinéma (Netflix, Tou.tv, etc.). Il est désormais possible de trouver sans même chercher. Il est donc primordial que l’offre d’événements en arts de la scène au Québec rattrape cette nouvelle tendance et que le public se voit recommander des événements selon ses habitudes et préférences. En liant les métadonnées entre elles, il sera possible d’y arriver.
Gouvernement du Québec. «Guide de découvrabilité et données en culture»
https://www.mcc.gouv.qc.ca/fileadmin/documents/publication
ARCA, «La littératie numérique en 6 microbouchées»
http://www.arca.art/fr/files/LITTERATIE-web-FINAL.pdf
ACD culture franco, «Journées d’études internationales»
https://www.youtube.com/channel/UCFyd8xyNRIaAvi23-tKa11
Josée Plamondon & la Fondation Jean-Pierre Perreault. «Bien documenter pour favoriser la découverte en ligne». 2019 https://espaceschoregraphiques2.com/wp-content/uploads/2
Gouvernement du Québec. «Plan culturel numérique du Québec».
http://culturenumerique.mcc.gouv.qc.ca/a-propos/
Josée Plamondon. «Découvrabilité: quand les écrans ne sont plus nécessaires».
https://joseeplamondon.com/decouvrabilite-ecrans
Culture Laval. «La découvrabilité et des bonnes pratiques sur le Web».
https://culturelaval.ca/guide-de-la-decouvrabilite-et-des-bonnes-pratiques-sur-le-web/
Culture Laval. «La promotion».
https://culturelaval.ca/guide-promotion-2/
Culture Laval, «Référencement».
https://culturelaval.ca/guide-seo-sem/
Culture Laval. «Les données et métadonnées structurées et liées».
https://culturelaval.ca/guide-metadonnees/
Wikipédia. «Le Marketing programmatique».
https://fr.wikipedia.org/wiki/Marketing_programmatique
Josée Plamondon. «Sémantique».
https://joseeplamondon.com/tag/semantique/
Josée Plamondon. «Libérer le potentiel de nos données culturelles».
https://joseeplamondon.com/liberer-le-potentiel
Wikidata. «Base de données».
https://www.wikidata.org/wiki/Wikidata:Main_Page
Josée Plamondon. «Les quatres piliers de la découvrabilité». 2019.
https://joseeplamondon.com/wp-content/uploads/2019/
Communauté Culture Québec. «Cartes enrichies».
https://communaute.culture-quebec.qc.ca/connaissez-vous-les-cartes-enrichies-du-moteur-de-recherche-google/
Wikihow. «Comment rédiger un article de Wikipédia».
https://fr.wikihow.com/r%C3%A9diger-un-article-de-Wikip%C3%A9dia
Ministère de la culture et des communications du Québec. «Pour des données ouvertes en culture». 2020.
https://www.mcc.gouv.qc.ca/fileadmin/documents/publications/guide/Donnees-ouvertes-Guide.pdf
Cpour.ca. «Lexique du langage culturel et numérique».
https://cpour.ca/2018/10/29/un-lexique-pour-mieux-comprendre-le-langage-culturel-et-numerique/
ARCA, «La littératie numérique en 6 microbouchées».
http://www.arca.art/fr/files/LITTERATIE-web-FINAL.pdf
ACD culture franco, «Journées d’études internationales».
https://www.youtube.com/channel/UCFyd8xyNRIaAvi23-tKa11A
Josée Plamondon avec la Fondation Jean-Pierre Perreault, «bien documenter pour favoriser la découverte en ligne». 2019.
https://espaceschoregraphiques2.com/wp-content/uploads/2019/12/Guide-me%CC%81tadonne%CC%81es-FJPP.pdf
Culture Laval, «Guide la découvrabilité et des bonnes pratiques sur le Web».
https://culturelaval.ca/guide-de-la-decouvrabilite-et-des-bonnes-pratiques-sur-le-web/
Le petit gris, «Guide de l’édition en art et de la distribution autogérée».
https://core.ac.uk/download/pdf/95566964.pdf
Culture Laval, «Promotion 2».
https://culturelaval.ca/guide-promotion-2/
Culture Laval, «Référencement».
https://culturelaval.ca/guide-seo-sem/
Culture Laval. «Les données et métadonnées structurées et liées».
https://culturelaval.ca/guide-metadonnees/
Josée Plamondon. «Trois enjeux pour les métadonnées en culture».
https://joseeplamondon.com/trois-enjeux-communs-pour-les-metadonnees-en-culture/
Olivier Charbonneau. «Enjeux et droits d'auteurs de la diffusion ouverte des métadonnées culturelles».
https://f.hypotheses.org/wp-content/blogs.dir/
Table ronde ACD culturesfranco, «Découvrabilité, droits d’auteur et rémunération des créateurs/artistes francophones».
https://www.youtube.com/watch?v=FE6Wjw_DX8s
Table ronde ACD culturesfranco, «Découvrabilité et exploitation des données».
https://www.youtube.com/watch?v=xNrNWmz6rFQ
Google. «Outil de test des données structurées».
https://search.google.com/structured-data/testing-tool/u/0/
Google. «Outil d’aide au balisage».
https://www.google.com/webmasters/markup-helper/u/0/?hl=fr
Culture Laval. «Les données et métadonnées structurées et liées».
https://culturelaval.ca/guide-metadonnees/
Avantage numérique. «Qu’est-ce que les données ouvertes et liées».
https://avantagenumerique.org/2020/07/quest-ce-que-les-donnees-ouvertes-et-liees/
Facebook. «Page d’entraide pour les entreprises».
https://www.facebook.com/business/learn
Instagram. «Transformez vos publications en publicités».
https://business.instagram.com/advertising?locale=fr
Réseaux sociaux
rendre sa présence intéressante
Opendata5, «Programme de déploiement en 5 étoiles».
https://5stardata.info/fr/
Excel. «Système de gestion de base de données».
https://excel.quebec/excel-autres-informations/systeme-de-gestion-de-base-de-donnees/
Observatoire de la culture et des communications du Québec. «État des lieux sur les métadonnées relatives aux contenus culturels». 2017.
https://statistique.quebec.ca/fr/fichier/etat-des-lieux-
Gouvernement du Québec. «Guide pour l’ouverture des données».
https://www.mcc.gouv.qc.ca/guide/Donnees-ouvertes-Guide.pdf
Yoast. «SEO for everyone».
https://yoast.com/
Compétence Culture «Coffre à outils technopédagogiques».
https://competenceculture.ca/_perfectionnement/coffre-a-outils-technopedagogiques/
Youtube Creator Academy. «Améliorez votre visibilité».
https://creatoracademy.youtube.com/page/course/get-discovered?hl=fr
Licence CC0
Cette initiative a été permise grâce au soutien du Conseil des arts du Canada.
Culture Laurentides est subventionné au fonctionnement par le ministère de la Culture et des Communications du Québec.
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